TAHAR DJEDDID LE PRECURSEUR IGNORE DE L’ART ET DE LA TECHNIQUE DU SABLAGE SUR TOILE -M.Kradra-
TAHAR DJEDDID LE PRECURSEUR
IGNORE DE L’ART ET DE LA TECHNIQUE DU SABLAGE SUR TOILE
Hélas , bon nombre de pseudo responsables, à qui a été confiée la responsabilité de la prise en charge du volet PRESERVATION ET DEVELOPPEMEN DE L’ART et DE l’ HISTOIRE du pays dont parmi elles certaines autorités locales ont, au vu et au su de toute la majorité silencieuse, ont outrageusement mélangé les pinceaux, négligeant avec une extrême désinvolture de mettre les pendules à l’heure et de repositionner leur têtes sur leurs épaules, en quête de réalisme et de justice et ce, afin de restituer à César ce qui appartenait à JULES, les justes et légitimes valeurs de nos maestros, nos virtuoses, voire nos illustres géants de l’art inédit et les incontestables précurseurs des arts et de leurs innovations à l’échelle mondiale.
Artistes injustement dévalorisés par la méconnaissance ou l’oubli destructeur , générateurs de déprime, de découragement et d’abandon pur et simple de ce noble et singulier art qu’est le sablage sur toile, ironie du sort, cet art et ce mode et style de peinture sont mondialement reconnus et fort appréciés en tant que tels par de grands pays et non des moindres, pays aux incontestables hautes vocations et prouesses artistiques et ce, faute d’inconscience ou d’incompétence de certains de nos pseudo responsables décideurs, officiellement en charge de cet important volet et parmi elles la fine technique inédite des tableaux version sablage sur toile qui a révolutionné le monde de l’art et de la peinture en relief, qui au risque de me répéter, ironie du sort oblige, dont l’artiste peintre précurseur et innovateur, hélas fort connu dans ce bas monde est bizarrement et curieusement fort méconnu et laissé pour compte dans son propre pays et même dans sa ville natale l’honorable ville de SIDIELHADJAISSA qui a eu l’honneur d’abriter son mausolée.
Cette flagrante, outrageuse ‘et impardonnable omission à l’endroit de notre brillant peintre ne porte-t-il pas préjudice au patrimoine culturel de notre merveilleux pays ainsi qu’à notre honorable ville ? Ne porte –t-il pas également préjudice, à la fertilité de l’inspiration, l’initiative de l’innovation et de la perfection, infligées injustement à l‘endroit des laissés pour compte de la basse et modeste sphère ? N’est pas de nature à acculer nos virtuoses , nos génies et nos surdoués en la matière au chômage technique cervical, en d’autres termes à hisser le drapeau blanc de la capitulation des méninges, faute d’encouragement, aux artistes virtuoses condamné en premier lieu à être sujet à la lassitude, puis à la déprime et enfin à l’ abandon et à la disparition pur et simple d’une grande école du noble art, patrimoine sacré de tout pays qui se respecte et qui prendrait jalousement soin de toute honorable mémoire collective qui est de nature à enrichir le patrimoine culturel de toute nation et dont elle a le devoir sacré de s’en porter garante.
Compte tenu de ce qui précède, je me dois de rendre un vibrant hommage, à notre Ami, notre force tranquille, notre valeureux artiste TAHAR DJEDDID, qui à notre grande satisfaction et ce, contre vents et marées a su braver et tenir courageusement tête à toutes les contraintes et toutes les causes et motifs confondues , subtilement et machiavéliquement déguisés et ce, en développant chez la victime avec le temps, l’âge et le contact humain le développement de la légitime technique justicière de préservation et d’auto défense et d’instinct de conservation voir l’application de la technique du TOURNEVIS face à la machiavélique technique du VICE et ce, grâce à une expérience grandissante de développement légitime d’ une immunité tout terrain, à toutes épreuves et contraintes confondues. Il a courageusement dit non à toutes formes de soumission, d’abdication ou de découragement et d’abandon de son noble art. A notre grande satisfaction il n’a pas hissé le drapeau blanc, symbole universel de l’abdication et de la soumission. Grand est notre espoir et notre souhait pour qu’il ne le fasse jamais et ce, en aucun cas et sous aucun prétexte.
Cher Tahar tu es et tu resteras pour nous incontestablement le brillant et singulier précurseur d’un grand art inédit et d’une grande école en la matière qui a pris sa source et sa légitime raison d’être grâce a ta brillante inspiration d’utilisation du sable de notre immense Sahara Algérien, terre de nos honorables ancêtres et contrée saharienne qui t’a vu naitre, qui t’a imprégné et qui a injecté en toi ce noble art et ces formidables endurance et combativité à toutes épreuves .
Tahar, tiens bon ! Tout le monde n’est pas insensible, ni indifférent au renouveau de ton style inédit et du renouveau de ton école généré en la matière, Tu as permis au respectable drapeau Algérien ainsi qu’à l’emblème Laghouatie de flotter honorablement et magistralement lors d’innombrables occasions dans les expositions et arènes artistiques a travers le monde, aussi bien pays du sud que du nord, réputés hautement avancés en matière artistique.
Bien nombreux sont tes disciples et admirateurs accros et ils seront encore plus nombreux. Le temps joue inexorablement en ta faveur Ta renommée est une fonction croissante du temps.
1- Et selon les textes coraniques et les hadiths ennabaoui :
« La patience est la meilleure voie et le meilleur moyen pour la réussite »
2- Comme disait à juste titre d’ailleurs JEAN DE LA FONTAINE
« Je plie et ne romps pas
Encore une fois je te dis tiens bon, que dieu guide tes pas et te protège.
M.KRADRA