"On passe notre vie à oublier les fondamentaux qui font notre succès."- par Christian-

Publié le par LAGHOUATI

    "On passe notre vie à oublier les
  fondamentaux qui font notre succès."
   
    Je disait cela ce matin à mon
  assistante, Sandra, à propos des
  lettrines.
   
    Une lettrine, c'est la grosse lettre
  que l'on met au début d'un texte.
   
    Un site web déclare: "Le simple ajout
  de Lettrines peut augmenter la
  stimulation visuelle d'un étonnant
  1072  %, attirer l'attention des clients et
  les garder sur votre site plus longtemps
  - or plus longtemps ils restent, plus le
  taux de conversion augmente les ventes,
  jusqu'à 736 %"
   
    Voici un article sur le sujet:
  http://clicks.aweber.com/y/ct/?l=I..0S&m=8neB6SxdkYtFY&b=vjtNddWrMGxhWkKg2Mb2fw
   
    Donc tout le monde sait qu'une
  lettrine augmente la lisibilité et les
  ventes.
   
    Eh bien, on oublie d'en mettre!
   
    De même qu'on oublie de dire à la
  femme ou à l'homme de notre vie qu'on
  l'aime, qu'on oublie de goûter chaque
  instant de la vie, qu'on oublie
  d'encourager nos enfants, d'exprimer
  notre gratitude et nous réjouir d'être
  vivant!
   
    N'est-ce pas étrange qu'il faille
  ainsi se souvenir sans arrêt des choses
  les plus évidentes?
   
    Les américains ont une expression pour
  cela "KISS - Keep It Simple, Stupid" -
  Faites Simple, Stupide". Et ils
  reviennent sans arrêt aux bases.
     
    C'est une bonne idée. Comme celle de
  relire ses classiques.
   
    Réfléchissez... qu'est-ce qui est
  évident et que vous avez arrêté de
  faire?
   
    Votre gym du matin?
   
    Un carré de chocolat?
   
    Une méditation?
   
    Une séance de massage?
   
    Un repas entre amis?
   
    Un week-end au bord de la mer?
   
    Une marche dans la nature?
   
    Jouer avec un enfant?

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S
<br /> <br /> Ni base, ni feuille de route, ni objectif, tel est notre destin. Changeons de mentalité et de comportement avant qu'il ne soit trop tard.<br /> <br /> <br /> Nous avons cette capacité d'occulter l'essentiel et de ne faire confiance qu'aux mirages. <br /> <br /> <br /> Pour cela nous avons une expression pour notre façon de voir les choses: ni tête ni queue. <br /> <br /> <br /> il va sonner pour qui:<br /> <br /> <br /> <br /> Pour qui sonne le glas (1943) de Sam Wood<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Titre original : « For whom the bell tolls »<br /> <br /> <br /> Lui :<br /> Pendant la Guerre d’Espagne, un américain rejoint les combattants républicains pour des missions spéciales. Il doit faire sauter un pont dans les montagnes afin de<br /> retarder les troupes ennemies… Il est assez paradoxal que l’adaptation du roman d’Ernest Hemingway ait été confiée à un réalisateur ardamment anticommuniste. En conséquence, tout le contexte<br /> politique est ici gommé, on ne sait qu’à peine de quelle guerre il s’agit (1). En revanche, tout le film est centré sur l’idylle entre Jordan et Maria qui s’étale sur de très longues<br /> scènes et d’interminables (très) gros plans ; certains sont superbes, certes, mais l’ensemble paraît assez répétitif avec des dialogues lourds et mal adaptés. Il n’en reste pas moins que Gary<br /> Cooper livre une belle prestation, avec son immense présence naturelle. Ingrid Bergman, engagée in extremis pour ce rôle qui la faisait fantasmer, est exaltée par son personnage. Le succès<br /> populaire fut immense. Pour qui sonne le glas est un bel exemple de cette capacité qu’a Hollywood de pouvoir décérébrer un<br /> grand roman pour en faire une banale romance.<br /> Note : <br /> <br /> <br /> Acteurs: Gary Cooper, Ingrid Bergman, Akim Tamiroff, Katina Paxinou<br /> Voir la fiche du film et la<br /> filmographie de Sam Wood sur le site IMDB.<br /> Voir les autres films de Sam<br /> Wood chroniqués sur ce blog…<br /> <br /> <br /> Remarques :<br /> * A sa sortie, Pour qui sonne le glas durait 170 minutes, soit près de 3 heures. Cette durée fut ramenée à 130 minutes lors de sa ressortie en<br /> 1988.<br /> * Ingrid Bergman raconte dans son autobiographie, Ma Vie, que lorsqu’elle demanda à Hemingway s’il avait apprécié le film, l’écrivain lui répondit<br /> qu’il lui avait fallu cinq séances pour parvenir à tenir jusqu’au bout sans quitter la salle.<br /> * Anecdote célèbre : Ingrid Bergman désirait tant avoir le rôle de Maria qu’elle se coupa les cheveux un peu prématurément, rendant impossible de retourner une<br /> scène du film Casablanca dont elle achevait le<br /> tournage. C’est ainsi que la chanson As time goes by est restée dans le film Casablanca alors qu’il était prévue de la remplacer… Et c’est maintenant l’une<br /> des quatre ou cinq chansons les plus célèbres de toute l’histoire du cinéma.<br /> <br /> <br /> (1) A noter que la courte scène où l’un des combattants demande à Gary Cooper pourquoi il a choisi, lui un américain, de venir de se battre à leurs côtés, n’a été<br /> rétablie que pour la version courte de 1988. C’est la seule scène un tant soit peu explicative du contexte.<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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