Etrange destin ! Boualem comme Malek , épris de Laghouat.

Publié le par MOHAMMED HADJ AISSA

Etrange destin ! Boualem comme Malek , épris de Laghouat.

En revenant de la visite d’un de mes cousins malade depuis de longs mois et en descendant la rue « el kabou » je fis la rencontre de Hadj Ahmed Benseddik qui me fit la présentation d’un jeune homme avec lequel il était en conversation. Il s’agit du jeune Boualem qui vient d’acheter une maison à el kabou. Boualem est décorateur et exerce son métier un peu partout en Algérie. Il m’a même avoué qu’il a travaillé à Hassi-Messaoud et plus exactement à Naftogaz , l’entreprise où j’ai passé trente ans de ma vie . Il y a fait la décoration extérieure après que j’en sois parti en 2007. J’ai eu l’occasion d’apprécier le travail de véritable artiste qu’il a réalisé mais sans en connaitre l’auteur. Maintenant c’est fait !

Il est à Laghouat depuis quelques mois, il est sur un projet qu’il compte  y réaliser. Il a pensé qu’il valait mieux que ses enfants soient avec lui, d’où l’idée d’acheter une maison et c’est ce qu’il fit. Sa nouvelle demeure avait besoin de certaines réfections qu’il vient juste de terminer. Une fois les réfections terminées, il ramena sa petite famille pour quelques jours afin de voir sa nouvelle habitation. Je lui posai la question de savoir ce qui l’a décidé à vouloir habiter à Laghouat et quitter sa ville natale, Koléa, tout près de la capitale et de la mer. Il me répondit sans aucune hésitation : » vous savez, monsieur, ce n’est rien d’autre que l’hospitalité et le bon accueil avec lesquels j’ai été accepté par la population. J’ai connu des gens merveilleux, pleins de gentillesse et de sollicitude, c’est cela qui a été la raison principale de mon changement de domicile, je vous avoue que ce sont des qualités que je n’ai pas rencontrées ailleurs et pourtant j’en ai fait des voyages à droite et à gauche»  

« Et puis, reprend-il, je suis renforcé dans mon choix par l’attitude de mes enfants que j’ai fait venir seulement pour quelques jours, juste pour voir leur nouvelle demeure, eh ben figures-toi, mon cher ami, ils ne veulent plus repartir malgré la chaleur et l’attrait que pouvait avoir sur eux la mer »

Je lui racontai l’histoire de notre ami Malek et ses enfants avec Laghouat, même histoire même mystère. Alors que nous marchions en direction du centre-ville , voici venir Mahmoud le menuisier , le bon kabyle des monts de la fière Kabylie qui a choisi , lui aussi comme tant d’autres, Laghouat comme lieu de résidence. Je fis les présentations : le fier kabyle et le noble Koleen  devenus par la force des choses ou par un étrange secret Laghouatis et appelés à vivre en voisins dans la rue qui m’a vu naitre.

Etrange destin qui a fait rencontrer des hommes venus de loin sur une terre qui est devenue la leur!

Publié dans Mohamed HADJ AISSA

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A
Laghouat a un autre koléen comme fils adoptif, bien qu'il n'ait jamais habité Laghouat. C'est un médersien que tous les médersiens de mon âge connaissent, il s'agit de mon ami et mon frère Abdelhak Gherrous, Allah yarahmou. Je suis heureux de pouvoir citer son nom dans ce blog et reconnaissant à si Boualem de m'avoir donné l'occasion de le faire. Petite malice de l'histoire, le père de Abdelhak s'appelait Boualem, un des surnoms de Abdelkader El Djilani.
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L
salam si Ahmida , j'espère que vous allez bien . Merci pour ce commentaire qui nous éclaire sur l'histoire de notre ville
S
<br /> <br /> oui marhaba a tout le monde qui savent aimer cette chaleureuse ville d'histoire et de culture.<br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> marhaba bi boualem fi laghouat .<br /> <br /> <br /> est ce que je peux rentre en contact avec boualem mon cher hadj aissa aissa.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> je vais essayer de prendre contact avec notre ami et je lui donnerai votre adreresse mail , il pourra ainsi vous contacter à son tour s'il veut bien<br /> <br /> <br /> <br />
S
<br /> <br /> Marhaban, <br /> <br /> <br /> <br />
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