BENACER BEN CHOHRA BEN FERHAT (1804-1884) LE RESISTANT EMERITE

Publié le par LAGHOUATI

BENACER BEN CHOHRA BEN FERHAT (1804-1884)

LE RESISTANT EMERITE

 

Membre de la tribu des Maamra et El Hadjadj,  qui est rattachée elle-même à la mythique tribu des Larbaas, Benacer Ben Chohra Ben Ferhat naquit en 1804 à Mekhareg.

Très jeune il se distingua par des qualités de chef et de cavalier émérite, son courage et sa bravoure lui conférèrent auprès de ses pairs et même de ses ennemis le caractère et le Pedigree d’un grand guerrier. 

Il débuta son combat en 1841 contre le colonisateur et fut arrêté à Mojbara dans la région de Médéa, il sera  emprisonné à  la prison de Boghar qu'il quittera quelques jours plus tard  après une invasion des plus spectaculaires le 05 septembre 1851 en éliminant plusieurs gardiens surarmés.

Il se maria une première fois avec la fille du Khalifa de Laghouat Bensalem Ahmed qui lui donna une fille et dont il divorça rapidement pour deux raisons essentielles, la première en rapport avec le refus de cette dernière de l’accompagner dans les profondeurs du Sahara où il avait décidé d’aller faire la guerre aux Français après la prise de Laghouat le 4 décembre 1852 et la seconde pour se démarquer définitivement d’un gendre devenu encombrant et qui avait de surcroit vendu son âme à l’ennemi  en collaborant  honteusement avec lui.

De par les traditions nomades de sa tribu il avait très jeune appris à connaître les profondeurs et les méandres de la steppe et du Sahara, s’imprégnant  de tous les repères y afférents à ces paysages sans limites qui lui serviront bien plus tard  dans son périple guerrier contre l’occupant français, la solidarité des citadins et des tribus nomades étant le crédo et le cri de ralliement qu’il a su inculquer et promouvoir entre les autochtones pour contrecarrer la main mise des français et leurs félons sur les richesses du pays.

Il n’y a pas un coin de cet espace infini où il n’a pas engagé le combat contre l’armée française poussant maintes fois l’outrecuidance jusqu’à déshabiller les soldats français et leurs supplétifs en les dépossédant de leurs armes.

En 1851, lorsque les habitants de Laghouat conscients de l’imminence de l’assaut que l’ennemie s’apprêtait à lancer contre leur ville  préparaient stoïquement et dans la sérénité la résistance, ils envoyèrent une délégation composée des sages de la ville solliciter de Benacer Ben Chohra  à la fois fabuleux combattant et fin tacticien de venir  organiser la bataille, ils le chargèrent pareillement de se mettre en contact avec  Med Cherif Ben abdallâh pour qu’il vienne  lui aussi apporter son aide  et son expérience,  ce dernier honoré par cette sollicitation accepta de rejoindre le valeureux Benacer Ben Chohra à Ksar El Hirane.

Benacer Ben Chohra organisera en 1851, une autre rencontre entre Yahia Ben-Maamar l’autre héros méconnu et oublié de l’histoire et le Khalifa de Djelfa Cherif Ben Lahrèche qui sera désigné plus tard Agha des Ouleds Nails par le colonisateur à Chebka prés de Berriane en vue de coordonner la lutte Contre l’occupant , une entrevue qui capotera par la faute du Cherif Ben Lahrèche qui ne daigna pas répondre à l’appel pressant lancé ni justifier son absence à cette réunion capitale.

En 1852, le 31 juillet Benacer Ben Chohra  s’attèlera  à la fortification de Ksar El Hirane en prévision de l’imminence des combats pour la défense de la ville de Laghouat qui s’apprêtait à subir le plus grand assaut d’une armée constituée de plus de 6.000 soldats et de mercenaires armés jusqu’aux dents et soutenue dans sa sale besogne par des supplétifs algériens dirigés par Ben hamza des Ouleds Sidi Cheikh.

Benacer Ben Chohra s'acharnera  comme à son habitude à défendre vaillamment la ville de Laghouat et ses Ksours mais l’utilisation à profusion par l’armée française de l’armement chimique et des lances flammes basculera dans l’horreur et le génocide l’issue d’un combat disproportionné à tout point de vue.

Après la chute retentissante de Laghouat et le génocide perpétré contre ses habitants par la soldatesque française, Il rejoignit le chérif Mohamed Ben Abdallah à Rouissat (Ouargla) et agit en coordination avec lui pour unifier la Résistance avec comme seule   devise « Il faut d’abord nous compter, nous grouper, pour agir mieux ensuite ».

 Le but est commun : la résistance à l’occupant née spontanément de l’initiative des patriotes sans pouvoir souvent définir le parti, la tendance, desquels ils se réclament.

 Ce qui est certain, ils réagissent toutes et tous contre l’occupation et la capitulation et ne l’acceptent pas.

 La Résistance sous sa houlette des années durant s’est renforcée au prix d’efforts considérables.

Benacer Ben Chohra devient ainsi le Chef incontesté de la Résistance intérieure il se chargea de mettre sur pied une guérilla  dont la mission sera :

« D’organiser la lutte contre les Français, leurs alliés et leurs complices, par tous les moyens et quel que soit le visage dont il se pare. »

Il livrera plusieurs  batailles oniriques à Nakoussa, Brezina et Rouissat où blessé il se fera soigné aux environs d’Oued Ghir.

C’est lors de son séjour à Ouargla qu’il épousa Yakout la fille du Khalifa d’Ouargla (de Mekhadma) qui lui donnera deux fils Yahia et Mohamed.

Son fils cadet Mohamed rentrera de Syrie où il avait suivi son père dans tous ses périples guerriers, pour combattre les colons aux cotés des Senouci à Tripoli, où il  sera après sa mort enterré  en 1912.

Après le décès de sa femme Yakout Benacer Ben Chohra épousera Zhour la sœur de Si Moulay Abdelkader Drissi qui lui donnera trois filles et deux garçons Yahia et Ferhat qui décédera à Laghouat après son retour de Syrie, il laissa une fille prénommée  Zohra veuve de Hadj Kaddour Benlahbib décédé en 1970 quant à son autre fils Yahia il décédera à Laghouat après son retour de Syrie.

Benacer Ben Chohra le valeureux combattant est un génie militaire, astucieux en politique de plusieurs façons, il a mené sans répit contre l’occupant français une résistance de plus de 33 années faite de vie précaire et dangereuse, avec une volonté de fer, animé par son amour de la Patrie et de la Liberté, ayant atteint l’objectif qu’il s’était fixé: Unir et engager dans le combat pour la Libération des forces de l’Algérie, toutes les forces de la Résistance intérieure  et ce, Jusqu’à son exil  forcé au Liban puis en Syrie où il rejoignit l’Emir Aek à qui il proposa de reprendre le combat pour libérer le pays du joug du colonisateur, mais ce dernier refusera la proposition de Benacer BEN Chohra prétextant avoir signé un traité avec les Français.

Ensuite, Il se réfugia à TOZEUR et NAFTA dans le Djérid tunisien où il sera l’hôte du chef de la Zaouïa Rahmania qui accueillait tous les combattants et résistants algériens et à travers toute la Tunisie, où il noua des contacts avec les réfugiés algériens, avec lesquels il  organisait des incursions en territoire algérien contre les tribus collaboratrices avec l’ennemi et les soldats français et leurs troupes qui furent harcelés sans cesse.

Ses actions soutenues par Med Boualeg Yakoubit et Aissa finirent par provoquer le courroux du Bey de Tunis  qui  ordonna à ses représentants d’arrêter ces deux dirigeants  et mettre fin à ces actions belliqueuses  récurrentes qui pourraient attirer à son pays les foudres de guerre de l’armée française.

Déçu par ce geste lâche et inapproprié Benacer Ben Chohra  écrivit au Bey de Tunis une lettre très courroucée lui demandant d’accorder plus d’intérêts à la cause algérienne «  nous sommes au service de Dieu et de son prophète Mohamed que le salut soit sur lui nous ne manquons pas d’honneur dans notre pays nous servons notre religion ce qui prouve que c’est bien la foi et le patriotisme sincère qui nous guident dans notre combat ».

Lorsque la résistance des Ouleds Sidi Cheikh fut déclenchée en 1864, Benacer Ben Chohra retourna clandestinement en Algérie, entra à Ouargla, prit contact avec Si Laala et participa avec lui à de nombreuses batailles victorieuses, ils s’associèrent et se constituèrent une armée de 1.500 cavaliers qui  accrocha pendant plusieurs jours l’armée Française dans la dure bataille de Taguine le 6 août.

Les deux hommes déplacèrent  leur armée qui comprenait les cavaliers des Ouleds Sidi Cheikh et les Larbaâs des Ouleds Aissa au Sud de Brezina pour rencontrer Sidi El hadj Eddine de la Saoura pour  faire jonction avec son détachement mais l’armée coloniale aidée des supplétifs et des renégats algériens plus puissante en hommes et en armes les coupa de leurs arrières et de leurs bases d’approvisionnements.

Et lorsqu’éclata la deuxième révolte des Ouleds Sidi Cheikh sous la conduite du Cheikh Bouamama, Benacer Ben Chohra faisant fi des risques encourus (sa tête était mise à prix) les rejoignit en passant au nez et à la barbes des soldats français auxquels il fera en cours de route des misères par Oued Zargoun, M’heyguen, Tadjrouna et Lalmaya.

En 1865, il retourna à Ouargla en compagnie de Si Laala, se rendit à El Goléa  et Ain Salah pour  mobiliser les gens et étendit son action jusqu'à Aïn Madhi qui résistait toujours aux coups de butoir de l’armée coloniale qui réprimait  à tout-va, afin d’étouffer dans l’œuf toute velléité contestataire trop menaçante pour sa sécurité.

Tout en menant héroïquement son combat en Algérie, il n'interrompit pas ses contacts avec la Tunisie où il continuait à se rendre pour recruter des partisans, fomenter des plans, tendre des embuscades et assurer la fourniture des armes et des provisions aux diverses insurrections qui éclataient un peu partout.

Il participa également à la résistance de Cheikh El Mokrani et du cheikh Aheddad (El Haddad) en 1871, agissant en terrain conquis sur tout  le front du Sahara oriental pour  desserrer l’étau que le colonisateur exerçait de façon pernicieuse  et continu sur la Kabylie qui résistait  , le colonisateur voulant  «imposer  un climat de terreur et de répression pour mettre tous les Algériens sous tutelle».

Après l'arrestation suite à des délations le 20 janvier 1872 d’Ali Boumezrag, chef des partisans d'El Mokrani, près de Rouissat, Benacer Ben Chohra poursuivra sans répit son activité à partir du Djérid et Nefzaoua pendant plus de huit ans (jusqu’à 1880) jusqu'à ce que le Bey de Tunis sous la menace des français l’oblige à quitter définitivement le territoire tunisien.

Mais l’idée de ces potentats locaux à la solde de l’ennemi ne leur vient décidément jamais de se demander pourquoi des peuples entiers peuvent si durablement pâtir, sans réagir, de leurs hallucinations et de leurs soumissions peut-être parce qu’ils ne se posent pas la question, rassurés par les déférences assidues de leurs infatigables affidés, qu’ils sont toujours les premiers surpris des révoltes qui finissent par les emporter.

Avant de partir la tête haute, vers les chemins verdoyant du seigneur Benacer Ben Chohra  fera à la vie une digne pénitence avec une telle humilité et une contrition de cœur que l’on a pu croire sans aucun doute que c’est l’œuvre de celui qui regarde la terre et qui la fait trembler il aurait été comme aux premiers jours de son engagement  dans la résistance envers le colonisateur et de ses alliés  au bout de sa logique de résistance et de bravoure « non stop ».

Il avait semé le grain. Mais il ne sera pas là au jour de la moisson.

Et le reste du monde !!!!!!!  au bout de sa condescendance et d’occultation à son endroit et de ses semblables, malgré tout il restera le seul résistant algérien que l’ennemi n’a pu jamais asservir ou faire signer une quelconque allégeance ou une capitulation, preuve s’il en est les récits ampoulés et circonstanciés des auxiliaires militaires qui font état de tout dans leurs rapports, car il restera quoi qu’on dise la légende et autres fabulateurs le seul résistant Algérien dont la photo ne figure pas dans les fichiers de la France coloniale ( étant donné qu’il n’a jamais été pris), ceci expliquant forcement cela , quant au le reste …….tout le reste ce ne pourrait  être que bavardages et papotages de jaloux et rancuniers en mal de notoriété ou d’exotisme ………….…………Mais allez savoir

Conscient de son combat et des graines de la rébellion semées en terre algérienne,  Il se rendit à Beyrouth où il mourut en héros en 1884  à l’âge de 80 ans avec le sens du devoir accompli.

 

Amine Lotfi

 

 Amitiés à :Hadj, Samir, Ben Bahaz, Kahouadji, Mimouni, Belmecheri, Djamel, Youcef, Gazou, Agathe et à l’âme de notre ami Kradra Med

Publié dans AMINE LOTFI

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D
<br /> <br /> merci ; amine lotfi ça nous fait un tres grand plésir de lire se récit tres réussis mes je voudrai simplement savoire votre bibliografie sur se teme et je voudrai dire un mots sur le<br /> rapatreiment de la dépouille du défint bennacer benchohra ; primo; se n'est pas attalah taj qui a trouvez la tombe du défint c'était notre ami le dr benali selimane (chef dep des lettres à<br /> l'université de laghouat) qui est le premier à le trouver apres un penible et tres longue recherche et puis il nous à guidé moi et quelque amis à le trouver ; deuxieument on n'a pas trouvrer<br /> la tombe mais on a trouver la pierre sur le quelle est écrit le nom de notre héros bennacer ben chohra ; c'est simplement pour vous dire qu'on ne peut pas rapatirier la dépouille du<br /> défint . mes parcontre on peut faire un geste qui restera gravé dans l'histoire c'est de faire une commemoration digne de notre héros à damas à la cimetiere on passent chez<br /> notre consule labas et aussi chez la famille de l'émir abdelkader.c'est une simple suggestion . <br /> <br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> les heros ne meurent jamais il faut tout faire pour rappatrier sa depouille et puisque notreami tadj attallah a pu ramener ou il est enterre il faut faire une orocedure et je suis pret a cooperer<br /> du moment que je connais la procedure je l ai entame durant la periode ou jetais a l apw mais je me suisconfronte a des problemes a lepoque qui nexistent pas maintenant alors je me porte<br /> volontaire a aider.<br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> <br /> Vous citez "Rouissat" au moins 2<br /> fois :<br /> <br /> <br /> "Après la chute retentissante de Laghouat et le génocide perpétré contre ses habitants par la soldatesque<br /> française, Il rejoignit le chérif Mohamed Ben Abdallah à Rouissat (Ouargla) ..."<br /> <br /> <br /> « Après l'arrestation suite à des délations le 20 janvier<br /> 1872 d’Ali Boumezrag, chef des partisans d'El Mokrani, près de Rouissat, Benacer Ben Chohra poursuivra sans répit son activité… ».<br /> <br /> <br /> Autrement dit Rouissat été un fief de la résistance pour toute l’Algérie et si Boumezrag a fait un si long trajet pour y venir, et si chérif Mohamed Ben<br /> Abdallah et Ben Chohra et par la suite Bouchoucha, pour ne citer que ceux-la, y sont passés, ce n’est donc pas par hasard.<br /> <br /> <br /> Ce qui est par contre un pur et malheureux hasard, c’est l’arrestation de Boumezrag.<br /> <br /> <br /> Voici ce qu’écrit Louis RINN dans son ouvrage « Histoire de l’insurrection de 1871 » (*) paru en 1891…<br /> <br /> <br /> « Le 25 janvier, les goums et la colonne étaient au camp de Rouissat. Boumezrag y était depuis cinq jours<br /> ; il ne  s’était pas livré volontairement, comme il l’a dit plus tard pour sa défense ; il n’avait pas non plus été enlevé dans un combat. Le 20<br /> janvier, au point du jour, un brigadier de chasseurs de France, faisant partie d’une patrouille circulant autour du camp, avait trouvé deux<br /> indigènes inanimés près d’une petite flaque d’eau restée dans une seguia d’irrigation, sur la lisière,<br /> de l’oasis. Il avait fait enlever les deux individus, qui respiraient encore, et les avait transportés au camp, où, soignés à l’ambulance, ils avaient repris connaissance et s’étaient nommés :<br /> c’était Boumezrag et son serviteur. Pendant six jours ils avaient marché tous deux, sans autre nourriture que les feuilles des plantes sahariennes et sans une goutte d’eau. Ils avaient bien<br /> rencontré des puits, mais ils n’avaient ni les réceptacles ni les moyens de puiser dont sont toujours pourvus les Sahariens. Leurs chevaux étaient morts de faim et de soif ; à pied, ils avaient<br /> continué à s’avancer vers le nord, espérant toujours rencontrer un berger ou un courrier indigène : ils ne rencontrèrent qu’un cavalier chambi qui leur refusa de l’eau, ne voulant pas se laisser<br /> approcher par deux hommes qu’il prit pour des goumiers du Tell. Si même, à Rouissat, Boumezrag et son<br />  serviteur avaient eu la bonne fortune de rencontrer un musulman au lieu d’un Français, ils eussent certainement été hébergés, cachés, et <br /> robablement sauvés. »  Fin de citation.<br /> <br /> <br /> Ce qui devrait mettre un terme définitif à la thèse de la delation sur l'arrestation de BOUMEZRAG…<br /> <br /> <br /> (*) Voici un lien pour telecharger le livre : (http://www.google.com/url?sa=t&source=web&cd=2&sqi=2&ved=0CCQQFjAB&url=http%3A%2F%2Ffile.blog-24.com%2Futili%2F80000%2F78000%2F78022%2Ffile%2FInsurrection_1871a.pdf&ei=aXrqTbf-NsO5hAfr9aW6Bg&usg=AFQjCNFkzhiHXzvkevv17O3UuqB8afFiKw)<br /> <br /> <br /> Mokhtar Aiad.<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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Z
<br /> <br /> Merci à vous de remuer le couteau dans la plaie d'un pouvoir autite BENACER BEN CHOHRA restera malgré la chappe de plomb le plus grand resistant algerien<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Nous avons tous tendance à critiquer le pouvoir ( et je ne suis pas là pour le défendre) mais avons-nous fait tout ce qu'il faut pour "enlever cette chappe" ?<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> Le Film sur ce grand résistant est presque en chantier les repérages et tout ce qui se rapporte à ce grand personnage et l'ébauche sont prêtes même si la tache ne sera tout aisé notre ami Amine<br /> Lotfi qui finit un livre sur ce grand combattant sera de la partie le connaissant et ayant eu affaire à sa ténacité et sa quête de la vérité je suis sur que les résultats seront à la mesure de la<br /> stature de ce valeureux résistant<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Pour une fois que l'on voit le nom de ce résistant incomparable à la une merci et continuer<br /> <br /> <br />
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B
<br /> L'histoire rattrape ces pourfendeurs et les zélateurs pour preuve ces belles révolutions qui sont de remettre de l'ordre à l'horloge de la vérité merci pour cet article qui fait honneur au combat<br /> de Benchohra<br /> <br /> <br />
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A
<br /> C'est malheureux de mentir Dieu reconnaitra les siens<br /> <br /> <br />
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K
<br /> Tout simplement fabuleux<br /> <br /> <br />
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A
<br /> Qu'ils nous rendent notre mémoire qu'ils nous rendent nos héros magnifique texte de notre ami et frère Amine Lotfi<br /> <br /> <br />
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G
<br /> BENACER BENCHOHRA NOTRE HONNEUR NOTRE FIERTE<br /> <br /> <br />
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C
<br /> Tout ce qui permet à la liberté de refaire surface est le bienvenue la désinformation l'Intox le peuple ne veut plus depuis 1962 qu'ils nous mentent il y a une fin à tout merci pour ce très beau<br /> récit qui rend l'éclat à une ville qui a beaucoup souffert à travers les siècles<br /> <br /> <br />
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M
<br /> Il est evident de reclamer que notre histoire soit écrite de facon à rendre à Cesar ce qui lui appartient et à Dieu ce qui appartient à Dieu et il est finit le temps où le pouvoir decide à la place<br /> du peuple qui doit etre associé à tout y compris l'ecriture de l'histoire chasse gardée jusque là de certains cercles du pouvoir qui ne veulent pas que les choses evoluent à l'encontre de leurs<br /> etroits interets<br /> <br /> <br />
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T
<br /> Fabuleux , la verité finit toujours par emerger<br /> <br /> <br />
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S
<br /> <br /> Que demande le peuple.<br /> <br /> <br /> Rendez nous notre Bennacer Ben Chohra. Est ce trop demandé. Autant de questions autant de réponses. On jalouse notre bennacer, Sa place est chez Dieu. Surmontez votre peur, les martyrs ne<br /> reviendront jamais, ils sont bien la haut. Alors faites nous ce plaisir et commencer déjà à engager les procédures de rapatriement.<br /> <br /> <br /> <br />
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B
<br /> Je découvre ......mon avis .......c'est magique continuez à nous faire esperer<br /> <br /> <br />
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M
<br /> Enfin un article sur le plus grand resistant<br /> <br /> <br />
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T
<br /> Si le saint patron de la ville Sidi Hadj Aissa est percu comme l'étoile polaire vers laquelle tous les regards désemparés se tourne lorsque tout deraille Benacer Ben Chohra est cette icone qui<br /> represente pour tout algerien qui se respecte le symbole de la resistance et du combat non stop à l'endroit du colonisateur merci pour ce recit poignant<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Voici un autre héros de la lignée de BENACER BEN CHOHRA Tarek Ibn Ziyad Tarek Ibn Ziyad né au VIIe siècle, et mort à Damas vers 720, est un stratège militaire de l'armée omeyyade d'origine berbère,<br /> également décrit comme un affranchi de Moussa Ibn Noçaïr. Il fut un des principaux acteurs de la conquête islamique de la péninsule ibérique. Il est principalement connu pour avoir mené, depuis les<br /> rives du nord de l'actuel Maroc, sur les ordres de son supérieur, le général Moussa Ibn Noçaïr, les troupes arabo-berbères à la conquête de l'Espagne. Depuis cette victoire, le détroit de Gibraltar<br /> porte son nom : le mot Gibraltar est une déformation linguistique de l'arabe Djebel Tareq, qui signifie « montagne de Tareq ». Tareq, surnommé dans l'histoire et la légende espagnoles, pour des<br /> raisons peu claires, « Tareq le borgne », fut appelé par les héritiers du roi wisigoth Wittiza qui lui demandèrent son soutien au cours de la guerre civile espagnole les opposant au roi<br /> wisigothRodéric. Il obtint le soutien de la population juive persécutée par les Wisigoths, des rivaux du roi Roderic, d'opposants à l'église catholique et du gouverneur byzantin de Ceuta, qui fut<br /> un élément clé dans la réussite de la conquista, en fournissant en particulier la flottille nécessaire à la traversée. L'essentiel des écrits concernant Tareq et la conquista provient d'historiens<br /> musulmans, qui ont rédigé leurs récits plusieurs siècles après les faits. Ces récits sont donc sujets à interprétation. Ainsi, l'historien espagnol Ignacio Olago Videla, dans sa quête d'autres<br /> sources, émet une hypothèse controversée niant l'existence d'une conquista, hypothèse à laquelle répond Pierre Guichard dans son ouvrage riche d'informations sur l'Espagne musulmane intitulé Les<br /> Arabo –berbères s ont bien envahi l'Espagne Le prénom Tareq signifierait en langue berbère : « conquérant ou voyageur » mais il est difficile de savoir si ce prénom berbère dérive ou non du prénom<br /> arabe. Compte tenu de la signification symbolique du prénom de ce conquérant, il est probable que le surnom de Tareq lui fut donné à l'issue de la conquête. Pour Joaquin Vallvé, le nom « Tareq »<br /> désignerait une figure éponyme signifiant simplement « chef » ou « leader ». En dehors de son prénom, du prénom de son père, de la date et du lieu de son décès, l'état civil de ce militaire reste<br /> incertain. Quant à son origine ethnique, les historiens actuels s'accordent à dire qu'il était Berbère, En bas de page du Tome I de l'ouvrage d'Ibn Khaldoun (ouvrage en consultation libre sur le<br /> net) sur les origines des Berbères figure, sans aucune référence ni date ni lieu, l'annotation suivante : « la branche des Ulhasa », information qu'il a reprise d'un auteur inconnu cité par<br /> l'historien Ibn Idhari El Marrakchi auteur de l'ouvrage Al Bayan Al Moghrib. En effet, Ibn Khaldoun parle sur différentes pages de son ouvrage au sujet des diverses subdivisions des tribus Nefzaoua<br /> et des tribus Oulhaça . Les différentes tribus Oulhasa (ou Oulhaça ou Ulhaça), selon les dires de généalogistes berbères (sur lesquels il n'y a aucune information précise) repris par Ibn Khaldoun,<br /> appartiendraient à la grande tribu des Nefzaouas qui fait partie du groupes des berbères zénètes ; cette hypothèse rend difficile la localisation exacte de son lieu de naissance car les Nefzaoua<br /> comme les autres Zénètes étaient, avant la période préislamique, subdivisés en branches dispersées à travers tout le Maghreb comme le confirment également les écrits des historiens chercheurs Émile<br /> Félix Gautier et Gabriel Camps; de plus au sujet, de l'origine des populations Zénètes et berbères en général, les avis divergent . Néanmoins la tribu des Nefzaoua était localisée en Ifriqiya.<br /> Comme tous les Zénètes, les Nefzaouas étaient nomades. Une des branches tribales Oulhasa est actuellement sédentarisée sur les rives de l'oued Tafna dans l'actuelle Algérie. Par ailleurs, Ibn<br /> Khaldoun écrit qu'il existait des branches Oulhasa de part et d'autre du fleuve Tafna. Le groupe des Oulhasas de l'est de l'Algérie est situé à la limite des bornes des wilayas de Constantine et de<br /> Bejaia ainsi que les bordures des Aurès. Les Zedjalas font partie des Oulhasas et sont dans la plaine Medjana bordée par les Aurès ; ils sont installés près de la montagne Eiad. De plus, cette<br /> tribu est voisine des Adjissas, tribu berbère. Tareq ibn Ziyad a été un commandant dans l'armée de Moussa Ibn Noçaïr, gouverneur omeyyade de l'Ifriqiya et général des troupes arabo- musulmanes ;<br /> elles étaient formées de populations d'origines ethniques diverses chargées de poursuivre ou de renforcer l'islamisation des nombreuses tribus berbères situées à l'ouest de la province. Moussa Ibn<br /> Noçaïr avait l'habileté de pratiquer une large politique d'assimilation, faisant entrer des Berbères dans l'armée et leur confiant des postes de commandement. Le nom de ce conquérant apparaît pour<br /> la première fois dans la littérature à la fin de l'islamisation de la partie occidentale du Maghreb, soit l'actuel Maroc, et au début de la conquête de l'Espagne wisigothe. Il est nommé par Moussa<br /> Ibn Noçaïr en remplacement de son fils Marwan, gouverneur de la ville de Tanger, dans le but probable d'organiser la logistique en vue de la conquête. Là aussi, il n'existe aucune information sur<br /> la raison et les circonstances de cette nomination à ce poste de responsabilité. Néanmoins, elle fournit des informations car elle suppose que Moussa Ibn Noçaïr devait voir en lui un homme de<br /> confiance, un bon connaisseur du terrain et des populations à recruter, un guerrier, une personne compétente, intelligente et montrant des capacités de leader martial et d'autorité reconnue au sein<br /> de l'armée. C'est seulement après avoir jugé l'Islam bien ancré au Maroc que Moussa Ibn Noçaïr retourna en Ifriqiya. De là, en 711, il envoya, par missive, Tareq Ibn Zyiad, stationné à Tanger,<br /> conquérir l’Espagne. Tareq s'est trouvé à la tête d'une armée de 7 000 soldats à laquelle s'est ajouté, dans un second temps, un contingent de 5 000 hommes, 12 000 hommes presque exclusivement<br /> Berbères. Moussa rejoint Tareq en Espagne avec une armée de 18 000 hommes, Arabes dans leur grande majorité. Le contingent dirigé par Tareq était majoritairement composé de diverses tribus berbères<br /> converties. Diverses sources mentionnent un contingent essentiellement formé de berbères (en particulier Sanhadja, Masmudas) accompagnés de quelques arabes chargés d'apprendre le coran aux soldats<br /> fraichement convertis . Page 215, de son tome I sur l'histoire des berbères (ouvrage librement consultable sur le net) Ibn Khaldoun écrit bien 12 000 berbères fraichement convertis stationnés à<br /> Tanger avec Tareq accompagnés de 27 arabes chargés de leur formation coranique, sans aucune autre précision, en particulier sur l'origine des ethnies présentes. Ce chiffre total de 12 000 hommes,<br /> avancé par les récits arabo-musulmans, est considéré comme exagérément faible pour certains historiens contemporains qui mentionnent un contingent bien plus important mais le facteur limitant reste<br /> la logistique nécessaire pour faire traverser les 14 km de détroit à des milliers d'hommes avec armes, chevaux etc.... Il fallut environ trois ans aux troupes arabo-musulmanes pour prendre la<br /> quasi-totalité de l'Espagne wisigothe ; la conquête ne toucha toutefois pas les royaumes du nord qui furent les futurs acteurs de la Reconquista. Dans son ouvrage The Muslim conquest and settlement<br /> of North Africa and Spain, Abd al-Wāḥid Dhannūn Ṭāhā mentionne page 85 de son ouvrage que plusieurs écrivains arabo-musulmans font état du fait que Tareq aurait décidé sans en informer son<br /> supérieur de faire la traversée du Détroit, désobéissance qui aurait provoqué la colère de Moussa Ibn Noçaîr . La version selon laquelle la désobéissance et les succès militaires de Tareq auraient<br /> provoqué la colère et la jalousie de Moussa Ibn Noçaïr, qui l'aurait mis aux arrêts et se serait approprié ses conquêtes, n'est confirmée par aucune source historique. En effet, les sources<br /> rapportent plutôt un agacement et de surprise de la part de Moussa Ibn Noçaïr au vu des richesses amassées par Tareq au cours de sa progression rapide. Les références historiques sur ce point<br /> indiquent que les deux hommes ont été convoqués et entendus à Damas, en715, par le calife Al-Walid ben Abd al-Malik pour faire un rapport sur la conquête et leurs prises de guerre. Les deux<br /> protagonistes furent alors accusés de détournement de ces dernières. Aucune référence historique ne fait état d'une éventuelle remise en cause officielle du rôle de Tareq et de ses troupes ; les<br /> versions mentionnant que Tareq fut emmené enchainé et mourut sur la route de Damas restent à démontrer. Dans tous les cas, de 715 à 720 (date officielle de sa mort), il n'existe aucune information<br /> précise sur la vie de Tareq, en dehors du fait qu'il avait rejoint la cour du calife de Damas, ville où il demeura jusqu'à la fin de sa vie. Gibraltar de l'arabe Djebel Tareq, qui signifie «<br /> montagne de Tareq » en référence à Tareq ibn Ziyad. La place importante donnée à ce personnage dans la conquête musulmane de l'Espagne a pu occulter le rôle primordial joué par de nombreux autres<br /> intervenants. Dans La conquête musulmane et la colonisation de l'Afrique du Nord et de l'Espagne, Abd al-Wāḥid Dhannūn Ṭāhā, s'appuyant sur plusieurs sources bibliographiques dont celles d'Ibn<br /> Khaldoun, apporte entre autres des informations sur les personnages et les circonstances de la conquête, sur les différentes tribus ou ethnies (arabes, berbères et sub-africaines) ayant participé à<br /> la prise de l'Espagne wisigothe. Après sa mort, Al-And<br /> <br /> <br />
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B
<br /> tout à fait d'accord avec les propos de monsieur Samir il n'y a que la verité qui sauve du naufrage bien dit Ibn Khaldoun l'a deja anticipé<br /> <br /> <br />
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S
<br /> "L’Histoire est une noble science. Elle présente beaucoup d’aspects utiles. Elle se propose d’atteindre un noble but." Disait Ibn Khaldûn dans son introduction à l’ouvrage "Discours sur l’Histoire<br /> universelle" connu plus sous le nom arabe "Al-Muqaddima". Pour Ibn Kahldûn, l’Hisoire est une discipline qui doit être d’un apport positif l’humanité. Il estime que celles et ceux qui écrivent<br /> l’Histoire doivent être animés d’un esprit réfléchi tout en disposant de nombreuses sources et de connaissances très variées, car il faut surtout éviter l’erreur. Par ailleurs, pour Ibn Kahldûn,<br /> l’historien doit avoir la maîtrise des principes fournis par la tradition, les fondements de a politique ainsi que la nature même de la civilisation et les conditions qui régissent la société<br /> humaine. Aux decideurs de prendre de la graine sur notre imminent savant Samir Amirouche Ouramdane d'Azzouza<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Nos responsables à en juger On leur donnerait presque l'absolution sans confession, comme on disait autrefois. À condition de croire, cependant, qu'à force de répéter une fausseté, celle-ci finisse<br /> par devenir vérité... En cela, notre pouvoir est un véritable spécialiste. Le peuple vit avec des séquelles de décisions qui ont tout perverti Il est vrai que les décisions pour tout denaturer qui<br /> ont été prises pour l'atteinte du «déficit zéro» Bien que l'on est en droit de porter un regard critique sur la façon dont notre histoire a été manipulée heureusemen qu'aujourd'hui qu'avec<br /> l'avenement de l'Internet le monde est devenu un village et je ne pourrais jamais assez remercié mon ami Amine Lotfi qui fait feu de tout bois pour allumer des incendies ....Samir Amirouche<br /> Ouramdane d'Azzouza<br /> <br /> <br />
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T
<br /> y en a marre de se laisser embobiner par toutes les contre verités enseignées comme matiére d'histoire à nos enfants messieurs les decideurs le peuple reclame la VERITE<br /> <br /> <br />
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S
<br /> «La classe politique n'a pas mesuré la distance qui la sépare du peuple », travestir l'histoire pour durer ne sert plus à rien la generation Facebook veille merci pour ce grand personnage sciemment<br /> occulté ......il brille tellement qu'il risque de faire de l'omnbre à leurs héeros en carton patte<br /> <br /> <br />
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C
<br /> et la boule de cristal sera là pour éclairer les aveugles. celles et ceux qui ne veulent pas voir que le peuple ne peut plus etre dupé<br /> <br /> <br />
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D
<br /> Pour s'inscrire et laisser son empreinte dans l'histoire il faut faire acte de ses conviction, courage et choix politiques et ne pas demeurer dans l'équivoque.n'est ce pas le cas de nos decideurs<br /> qui veulent que le peuple vit dans l'obscurantisme et les faussetés beau recit<br /> <br /> <br />
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S
<br /> pourquoi ces oublis cette suffisance et cette morgue affichére à l'endroit de héeros qui ont été les locomotives et les boosteurs qui ont comme un effet boule de neige permis à la flamme de ne<br /> jamais s'eteindre et aux combats de sombrer<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Je remercie les gens qui sont en charge de cette belle passerelle de la débauche d'énergie pour exhumer des héros oubliés (sciemment) le but est noble, car il incite à redonner son âme à la ville<br /> de Benkriou,de Sidi Hadj Aissa et Benacer Ben Chohra dont chaque algerien où il se trouve doit etre fier . Cependant, le combat contre le stattu quo est encore à engager<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Merci et autant en emporte le vent du changement qui est imminent<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Merci et autant en emporte le vent du changement qui est imminent<br /> <br /> <br />
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S
<br /> L'histoire est le retroviseur necessaire pour aller de l'avant mais quy'en est il au juste that is a question<br /> <br /> <br />
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T
<br /> L'écriture de l'histoire est salvateur pour toute société qui veut avancer mais est ce le desir des decideurs qui veulent instaurer l'opacité comme mode de gouvernance BENACER BEN CHOHRA que<br /> beaucoup voudraient voir releguer aux seconds plans et jeté aux oubliettes est revenu hanté les nuits des historiens de SERVICE merci à Amine Lotfi pour ce pavé dans la marre<br /> <br /> <br />
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K
<br /> que les decideurs arretent la manipulation genetique de l'histoire la verité a finit par les deshabiller rendez nous notre memoire elle a été longtemps sequestrée beau et magnifique recit<br /> <br /> <br />
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B
<br /> MERCI MERCI C'EST GEANT<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Magnifique ......ce souffle de vérité est salvateur<br /> <br /> <br />
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B
<br /> J'ai eu la chance et le plaisir d'avoir travaillé avec Amine Lotfi à MOBILIS en 2005, j'ai beaucoup appris à son contact concernant la technogie cellulaire et sur les arcanes de la radionavigation<br /> et aussi en ce qui concerne l'histoire de l'Algerie ou il est incollable à la lecture de ce beau recit j'ajoute une corde à mon arc merci mes amis j'ai aimé travaillé à Laghouat Boussouf<br /> <br /> <br />
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A
<br /> Oui tout à fait d'accord avec vous Mr Bensmain les héros resteront des héros et tant pis pour celles et ceux qui ratent le train l'histoire s'écrira au passé pour lever le voile sur ces injustice ,<br /> au present parce que les enfants de Facebook Twiter et autre Google les forceront merci pour ce Blog qui fait vraiment honneur à l'Algerie et à toute une region Allout Canada je decouvre merci et<br /> bravo<br /> <br /> <br />
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Z
<br /> Rien n'y fait nos responsables sont et seront toujours à coté c'est dans leurs genes on n'y peut rien<br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> QUE RETIENDRA L'HISTOIRE DE CEUX QUI VEULENT L'EFFACER?ILS VEULENT CAMOUFLER LA VERITE?AUTANT CACHER LE SOLEIL AVEC UN TAMIS. LES HEROS RESTERONT DES HEROS POUR TOUJOURS,ILS DOIVENT LE COMPRENDRE<br /> TOT OU TARD.<br /> <br /> <br /> <br />
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S
<br /> "L'action ne dérive pas de la pensée mais d'une bonne volonté à assumer ses responsabilités." ecrivons notre histoire loin des salons feutrés Samir Amirouche Ouramdane d'Azzouza<br /> <br /> <br />
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T
<br /> Rien ni personne ne pourra faire la revolution culturelle ni ecrire notre histoire à notre place les responsables ont profité de notre lethargie pour faire le tri exit benacer ben chohra exit<br /> bouziane exit le camouflet infligé à soustelle et lacoste qui en guise de represaille ont delocalisé la prefecture vers un ciel plus clement à ouargla ......tout cela c'est de notre faute ....à cet<br /> égard je remercie vivement notre journalise Amine Lotfi qui est aussi electronicien pour sa debauche d'énergie il passe une couche et appuie là ou ca fait mal merci et je vous felicite pour ce<br /> merveilleux blog<br /> <br /> <br />
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Z
<br /> c'est revigorant toujours d'exhumer certains exquis pour reveiller des esprits atrophiés<br /> <br /> <br />
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A
<br /> la verité est le sul moteur de recherche tout le reste est facultatif<br /> <br /> <br />
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L
<br /> la resistance Aam El Khalia BENACER BENCHOHRA oubliés ....aucun pays ne peut acceder à l'universalité s'il omets volontairement de citer les héros qui ont fait et qui constituent son histoire et sa<br /> MEMOIRE<br /> <br /> <br />
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M
<br /> l'histoire que l'on enseigne est manipulée et c'est bien dommage<br /> <br /> <br />
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D
<br /> Merci et mille merci pour ce beau texte qui nous redonne la peche<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Merci à votre Blog de mettre toujours au menu ce grand resistant par ailleurs occulté<br /> <br /> <br />
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Z
<br /> le coup de massue contre l'ordre établi et le ronronnement de l'histoire officiele qui est comme toujours à coté de la plaque<br /> <br /> <br />
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G
<br /> Oui il faut oser et mettre la pression pour réecrire l'histoire nos potaches sont embriguadés ils ne savent rien parceque l'école est vraiment sinistrée puisqu'elle est prise en otage<br /> <br /> <br />
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R
<br /> en plein dans le mile<br /> <br /> <br />
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