Photo de classe de 1950

Publié le par Laghouati


Bonjour, encore un beau petit cadeau de notre ami ( il n'est pas seulement le mien mais également le votre) Amine qui ne ménage aucun effort pour nous faire plaisir. Je sais que cette photo va enchanter de nombreuses personnes , aujourd'hui agées de 70 ans et qui se reverront à l'age de 10-12 ans. Monsieur Hadj H'mida Kada, qui devait avoir la trentaine , a été pris en photographie avec ses élèves dont je reconnais quelques uns : debout, à l'extreme droite , on peut reconnaitre Mabrouk Zegnini, à coté de lui, je crois reconnaitre Sassi Boulefaa, le 3ème debout à partir de la gauche, il me semble que c'est Taleb Hemami.Tous les autres me sont inconnus.

Il est à remarquer l'extreme indigence de la majorité des élèves qui sont sont pauvrement vétus.

Publié dans SOUVENIRS

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B
<br /> <br /> Bonsoir<br /> <br /> Je ne sais quoi dire devant<br /> cette photo, qui est en vérité plus qu'une photo. C’est l'histoire de nos pères et grands pères, je suis vraiment ému car j'ai reconnu quelques un grâce à mon beau père el Hadj Ali Rayane<br /> qui figure sur cette photo - troisième debout à partir de l'adroite ) et qui a pu reconnaître la majorité de ces collègues.<br /> Je vous enverrai la prochaine fois la même photo avec les noms de la majorité de la classe<br /> <br /> <br />
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M
<br /> J'attendrais votre photo et les noms des personnes qui y sont; mes amitiés à Hadj Ali<br /> <br /> <br />
T
Tres belle photo qui n'a pas pris une seule ride merci d'ouvrir pour nous cet album photo qui nous montre ce meting pot en ce temps je n'étais meme pas né mon pere pas marié du tout il doit etre content de se rememorer ces temps beni.
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S
Encore une belle photo de groupe nous rappelant ces années difficiles pour les enfants et les adultes. La pauvreté était encore à son fait même dans les années cinquante. On ne se remet pas d'un après guerre comme par miracle. En plus, les algériens étaient toujours sous le joug de la colonisation qui n'était pas une mère généreuse. L'empathie ne faisait pas partie de ces qualités qu'on rencontrait à chaque coin de rue.A cette époque, je commençais à marcher à peine, mais ma mémoire à gardé de ce temps là, et jusqu'aux années 60, quelques souvenirs pas très honorables. Heureusement, l'enfance a aussi de ces ressources qui font que leur monde ils peuvent le rendre parfois, assez magique.
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L
<br /> <br /> Ah ces années-là ! en dépit de la colonisation , des maladies , de la pauvreté et parfois de la faim et des"pieds nus", nous étions des enfants heureux : nous avions l'amour de nos<br /> parents et de nos proches et ces jardins luxuriants,ce  qui nous faisait supporter  tout ce que nous endurions.<br /> <br /> <br /> <br />